Vivaldi-Piazzolla / Saisons : d’un rivage à l’autre
La singularité est de faire exister en un même moment musical deux grands maîtres, 2 styles, 2 époques, 2 continents, 2 inspirations : l’une pastorale, l’autre urbaine.
La singularité est de faire exister en un même moment musical deux grands maîtres, 2 styles, 2 époques, 2 continents, 2 inspirations : l’une pastorale, l’autre urbaine.
Le dialogue est étonnant, la rencontre est lumineuse, les deux écritures s’étreignent, s’imbriquent, se fondent, finissent par former un seul corps. Un corps qui ne demande qu’une chose, vibrer, se mettre en mouvement et embrasser l’espace.
Le corps d’un musicien lorsqu’il n’est pas en fosse, lorsqu’il n’est pas dirigé par un chef, se montre d’une remarquable vivacité ; il est aux aguets, il est animal. On découvre l’acuité des regards, la précision du geste, de chaque signe.
Corps, visages, instruments, archets, dessinent les prémisses d’un ballet.
Au programme :
Les 4 saisons, Antonio Vivaldi
Les 4 saisons de Buenos Aires, Astor Piazzolla
Direction : Marianne Piketty
Le corps d’un musicien lorsqu’il n’est pas en fosse, lorsqu’il n’est pas dirigé par un chef, se montre d’une remarquable vivacité ; il est aux aguets, il est animal. On découvre l’acuité des regards, la précision du geste, de chaque signe.
Corps, visages, instruments, archets, dessinent les prémisses d’un ballet.
Au programme :
Les 4 saisons, Antonio Vivaldi
Les 4 saisons de Buenos Aires, Astor Piazzolla
Direction : Marianne Piketty