Par Marianne Piketty & le concert idéal. Proposé par la Aurillac Agglomération organisé par le Théâtre d’Aurillac et avec le soutien artistique de l’association Musica Formosa
La singularité de Vivaldi-Piazzolla, Saisons : d’un rivage à l’autre est de faire exister en un même moment musical deux grands maîtres, deux styles, deux époques, deux continents, deux inspirations : l’une pastorale, l’autre urbaine.
Le dialogue est étonnant, la rencontre est lumineuse, les deux écritures s’étreignent, s’imbriquent, se fondent, finissent par former un seul corps. un corps qui ne demande qu’une chose, vibrer, se mettre en mouvement et embrasser l’espace. Le corps d’un musicien lorsqu’il n’est pas en fosse, lorsqu’il n’est pas dirigé par un chef, se montre d’une remarquable vivacité ; il est aux aguets, il est animal. on découvre l’acuité des regards, la précision du geste, de chaque signe.
Corps, visages, instruments, archets, dessinent les prémisses d’un ballet.
Le dialogue est étonnant, la rencontre est lumineuse, les deux écritures s’étreignent, s’imbriquent, se fondent, finissent par former un seul corps. un corps qui ne demande qu’une chose, vibrer, se mettre en mouvement et embrasser l’espace. Le corps d’un musicien lorsqu’il n’est pas en fosse, lorsqu’il n’est pas dirigé par un chef, se montre d’une remarquable vivacité ; il est aux aguets, il est animal. on découvre l’acuité des regards, la précision du geste, de chaque signe.
Corps, visages, instruments, archets, dessinent les prémisses d’un ballet.