Par l’Ensemble Instrumental du Conservatoire d’Aurillac
& Sarah Barthélémy-Sibi et Sèverine Sarrias
Une aventure insolite au pays des jouets, où il est question d’amour, de jalousie, de batailles…
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& Sarah Barthélémy-Sibi et Sèverine Sarrias
Une aventure insolite au pays des jouets, où il est question d’amour, de jalousie, de batailles…
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Composée pour sa fille en 1913, l’œuvre, pour piano à l’origine, a commencée à être orchestrée par Debussy. À sa mort, son élève, André Caplet terminera l’orchestration
La musique est caractérisée par une poésie douce et colorée, tour à tour sautillante et mélancolique.
La pièce en 6 tableaux se déroule dans une boîte à joujoux, sorte de ville dans laquelle les jouets vivent comme des personnes. Un soldat tombe amoureux d’une poupée qui a déjà donné son cœur à un Polichinelle paresseux et querelleur. Après une grande bataille, la poupée, délaissée par Polichinelle, se marie finalement avec le soldat de bois. Le polichinelle frivole devient garde champêtre. Et la vie continue dans la boîte à joujoux.
À travers des écrans de papier, chaque tableau apparaît au fur et à mesure du récit comme les pages d’un livre que l’on tourne. Les personnages prennent vie en ombres chinoises et évoluent au gré de la musique et de la lecture du texte d’André Hellé, d’après lequel Debussy a composé cette “boîte à joujoux”.
La musique est caractérisée par une poésie douce et colorée, tour à tour sautillante et mélancolique.
La pièce en 6 tableaux se déroule dans une boîte à joujoux, sorte de ville dans laquelle les jouets vivent comme des personnes. Un soldat tombe amoureux d’une poupée qui a déjà donné son cœur à un Polichinelle paresseux et querelleur. Après une grande bataille, la poupée, délaissée par Polichinelle, se marie finalement avec le soldat de bois. Le polichinelle frivole devient garde champêtre. Et la vie continue dans la boîte à joujoux.
À travers des écrans de papier, chaque tableau apparaît au fur et à mesure du récit comme les pages d’un livre que l’on tourne. Les personnages prennent vie en ombres chinoises et évoluent au gré de la musique et de la lecture du texte d’André Hellé, d’après lequel Debussy a composé cette “boîte à joujoux”.
