VOUS LES AVEZ AIMES DANS « VACARME(S) OU COMMENT L’HOMME MARCHE SUR LA TERRE »
Entre Noël et le jour de l’an, Julie et son frère Lucas doivent vider et vendre le modeste pavillon familial auquel ni l’un, ni l’autre ne se disent attachés.
Entre Noël et le jour de l’an, Julie et son frère Lucas doivent vider et vendre le modeste pavillon familial auquel ni l’un, ni l’autre ne se disent attachés.
C’est l’heure des choix.
Et des conséquences des non-choix.
Et la perspective libératoire d’un nouveau départ pour Julie et son mari qui vont enfin pouvoir financer la construction de leur future maison.
L’occasion aussi d’organiser un dernier réveillon avec les voisins où ressurgira le passé heureux et se révéleront tous les doutes et toutes les failles : « Et si on annulait la vente ? » demande soudain Lucas, provocant un séisme aux yeux de tous les invités qui fera trembler sur ses fondations tout l’équilibre familial et fera exploser le cadre, en apparence serein, d’un lotissement « sans histoires ».
À travers l’histoire d’un pavillon défraîchi, au cœur de ce que certains osent qualifier de « France moche », La Vie des Autres propose un récit de la France périphérique qui se débat avec la crainte du déclassement et s’accroche au rêve pavillonnaire.
Et si le bonheur était là ?
Et des conséquences des non-choix.
Et la perspective libératoire d’un nouveau départ pour Julie et son mari qui vont enfin pouvoir financer la construction de leur future maison.
L’occasion aussi d’organiser un dernier réveillon avec les voisins où ressurgira le passé heureux et se révéleront tous les doutes et toutes les failles : « Et si on annulait la vente ? » demande soudain Lucas, provocant un séisme aux yeux de tous les invités qui fera trembler sur ses fondations tout l’équilibre familial et fera exploser le cadre, en apparence serein, d’un lotissement « sans histoires ».
À travers l’histoire d’un pavillon défraîchi, au cœur de ce que certains osent qualifier de « France moche », La Vie des Autres propose un récit de la France périphérique qui se débat avec la crainte du déclassement et s’accroche au rêve pavillonnaire.
Et si le bonheur était là ?